1. Les missions d’un fleuriste

La profession de fleuriste est un métier qui requiert des compétences commerciales et techniques ainsi qu’une certaine approche artistique et créative. Si en amont le fleuriste est amené à gérer les stocks et les commandes auprès des fournisseurs, en aval, il joue sur son sens du marketing pour attirer des clients et leur donner envie d’acheter les fleurs et les plantes proposées. La disponibilité et les besoins des végétaux sont rythmés par les saisons et les évènements annuels (Saint-Valentin, Toussaint, Noël, fête des Mères, etc.). Entre autres, le fleuriste assure aussi la conception des bouquets, des pots, ainsi que la composition des fleurs.

2. Les compétences requises

Si vous souhaitez exercer en tant que fleuriste, vous avez besoin de plusieurs compétences, à savoir être minutieux, créatif, avoir une sensibilité artistique ainsi que se doter d’un sens du relationnel et de l’organisation. La maîtrise des techniques de vente doit également figurer parmi la liste des compétences d’un fleuriste. Cet expert en fleurs veille à ce que les clients se sentent à l’aise et trouvent ce dont ils ont besoin.

3. Les études et formations

On peut accéder au métier de fleuriste avec au minimum un CAP fleuriste. Ce diplôme est accessible pour les aspirants après la 3e. Après, ils doivent suivre une formation d’un ou deux ans dans un CFA ou un lycée professionnel horticole à l’issue de laquelle ils obtiennent le fameux CAP. Les études peuvent s’effectuer à distance avec une multitude de supports et de ressources pédagogiques au rendez-vous pour apprendre le métier. La formation concerne l’art floral, les techniques de vente, la botanique et d’autres sujets encore.

4. La rémunération et évolution

Un fleuriste peut recevoir en moyenne 2 000 euros net mensuels. Bien évidemment, la rémunération peut changer en fonction du chiffre d’affaires de la boutique, de la marge perçue sur les plantes et le type de variétés de fleurs proposées, etc. Mais en général, le salaire d’un fleuriste oscille entre 1 000 et 3 500 euros par mois.

Décorateur d’intérieur

La profession de décorateur d’intérieur est accessible à l’issue d’une courte formation. Ce spécialiste analyse en fait les besoins des clients. Il aménage l’espace en fonction de la demande et des goûts de la clientèle. Il propose ensuite un devis qui stipule les coûts de la prestation. En plus, le décorateur d’intérieur réalise les travaux conformément aux attentes de son client. Ainsi, il y a de nombreux établissements qui donnent des formations pour ce métier. Mais il suffit, pour être un décorateur d’intérieur certifié, d’avoir un BTS Design d’espace. Vous pouvez du coup choisir soit un cursus en présentiel, soit des cours à distance. Il est alors à noter que les cours en ligne facilitent l’apprentissage. Ces cursus peuvent aussi durer 6 mois à un an. Il est donc possible d’aller à son propre rythme.

Boulanger

Si vous êtes passionné par la cuisine, ce travail est fait pour vous. Il exige une bonne résistance physique et un savoir-faire technique. Les compétences requises s’acquièrent facilement tout au long d’une formation de boulanger. Pour entrer dans la profession, vous devez seulement avoir un CAP boulanger. Vous pouvez d’ailleurs décrocher votre diplôme en quelques mois.

Agent immobilier

Est-ce qu’il est vraiment nécessaire de présenter ce métier ? Comme vous le savez, le métier d’agent immobilier est très prisé en France. C’est le travail adéquat à choisir lors d’une reconversion professionnelle. L’agent immobilier est en effet le commercial par excellence. Ce spécialiste de la vente est chargé du processus d’achat ou de location d’un bien immobilier. Le secteur immobilier est de plus très florissant. Il recrute alors énormément de personnes. Ainsi, ce métier est accessible à la suite de formations. Pour ce faire, il faut obtenir un BTS Professions immobilier. Mais les futurs agents immobiliers peuvent aussi décrocher un Bac+2 ou un DEUST.

Quelles formations suivre ?

Pour devenir consultant RH, il faut au moins un niveau minimum de bac+5 mais les domaines de la formation en ressources humaines sont très étendus, donc, à vous de choisir ce qui vous convient le mieux. Pour des formations généralistes en RH, c’est le master ressources humaines, le master en droit, le master gestion et le master en droit social. Si vous optez pour des formations techniques, il vous faut suivre un parcours en assurance, en comptabilité, en informatique et en finance. Mais pour des formations spécialisées, c’est plutôt le master RH, master en psychologie, master en sociologie, master en gestion et master en sciences du management.

Le profil d’un bon consultant RH

Pour devenir consultant RH, vous devez être très polyvalent et posséder des compétences dans plusieurs domaines. Par exemple, il est utile d’avoir des connaissances juridiques pointues, en particulier dans le droit du travail et le droit social, mais aussi des connaissances fiscales régulièrement mises à jour, de même que des compétences en économie et en recrutement bien entendu. Vous devez aussi maîtriser le numérique et les réseaux sociaux, en fait, le monde de la communication en général. Vous êtes dans l’obligation de posséder un maximum de connaissances sur pratiquement tout afin de pouvoir prodiguer des solutions adaptées aux clients. Évidemment, l’anglais est un atout de poids, notamment si vous devez travailler au sein d’une société internationale.

Le métier de graphiste

Des mots peuvent être transformés en image grâce au graphiste. Aujourd’hui, bon nombre de secteurs ont besoin d’un graphiste pour la réalisation de leur projet : communication, édition, publicité, etc. Le métier a beaucoup évolué car tout est devenu digital avec l’évolution des technologies et de l’informatique. Actuellement, un graphiste travaille sur son ordinateur et utilise différents outils qui viennent faciliter son travail notamment les logiciels dédiés aux graphistes designer comme le PAO.
Les missions d’un graphiste sont nombreuses et variées, en voici quelques unes :
• Analyse et identification des exigences du client
• Transformation des idées en image
• Réalisation de tous les travaux avec l’aide d’autres experts qui travaillent sur le projet
• Choisit les couleurs, les styles, l’emplacement des textes, etc.
• Impression du produit final, etc.
Le graphiste est appelé à travaillé étroitement avec le directeur artistique, qui, n’est autre que son supérieur hiérarchique. Il travaille tout en respectant les consignes et les exigences du client.

Quelles formations et quelles qualités requises ?

Plusieurs diplômes peuvent vous aider à devenir graphiste et exercer au sein dune entreprise ou en Freelance. Parmi ces diplômes on retrouve : le BTS en communication visuelle ou multimédia, DNAT ou diplôme national d’art et technique, Licence en art ou un Master Pro en sciences et technologies. Deux autres diplômes ouvrent aussi accès au poste de graphiste : DSAA (Diplôme supérieur en arts appliqués) et DNSEP (diplôme national en expression plastique, etc.). Il est tout à fait possible de s’autoformer en graphisme, beaucoup de sites internet proposent aujourd’hui des formations adaptées.
Avoir un diplôme c’est bien, avec beaucoup de qualité c’est mieux. Parmi les qualités qui attirent les recruteurs, on retrouve : un esprit curieux et critique, plus un grand sens artistique. La maîtrise de tous les outils nécessaires est aussi un bon point. A cela devrait s’ajouter, un bon relationnel puisque le graphiste est appelé à entrer en contact avec ses collaborateurs, le client, etc.
Aujourd’hui, un graphiste est payé 1600 euros à ses débuts, voire plus s’il est embauché auprès d’une grande société ou en Freelance. Avec plus d’expérience, il pourra gagner plus, idem s’il travaille en Freelance.

Quelques conseils pour graphiste freelance

Ce n’est pas toujours facile de trouver des clients il convient de tout faire pour faire connaitre votre activité. En effet, tout est dans le démarchage de clients. Ainsi, vous devez savoir vendre vos produits en vous spécialisant dans un domaine particulier notamment dans la publicité d’articles de mode (vêtement, chaussures, accessoires, etc.), la publicité de produits cosmétiques, la publicité d’articles high tech, etc. Il est possible de se spécialiser dans nombreux domaines, cela multiplie d’ailleurs vos chances de vous faire embaucher. Grâce à vos spécialisations, le client saura tout de suite si vous pouvez ou non remplir toutes ses exigences. Construisez-vous également une communauté, utilisez pour cela les différents réseaux sociaux dont Facebook, Twitter, Linkedin, Viadeo, etc. N’oubliez pas de vous inscrire dans les groupes et les nombreux sites dédiés aux freelances : cela vous permet de trouver des missions régulièrement. Soyez réactif et participer aux divers événements dédiés à l’univers du Web et/ou du graphisme. Faites en sortes de vous faire connaitre : n’hésitez pas à partager vos réalisations car les clients qui trouvent votre travail remarquable peuvent vous engager immédiatement.

Le métier de maquilleuse réclame du talent

Son rôle principal consiste à mettre en valeur le visage de quiconque qu’on lui demande de maquiller. Mais au cinéma, on peut au contraire lui demander de grimer le visage d’un acteur, pour qu’il ressemble le plus à un monstre par exemple, pour les besoins d’un film. Une maquilleuse est souvent aussi appelée Conseillère en beauté. Et c’est un métier très proche de celui de coiffeur, de plasticien et de perruquier. Tous ces domaines se complètent la plupart du temps. Il est totalement faux de croire que le métier de maquilleuse est facile. Déjà, il faut savoir qu’il y a davantage de candidats que de postes à pourvoir. Un excellent niveau est indispensable pour pouvoir percer, mais cela ne garantit pas un emploi fixe. Ce sont les grandes chaînes de magasins, les marques de maquillage, les instituts de beauté et le monde du spectacle et du cinéma qui recrutent le plus.

Suivre des formations précises est primordial

Il existe un bon nombre de formations que l’on peut suivre pour exercer le métier de maquilleuse. En premier, le CAP esthétique cosmétique parfumerie, ou un Bac pro esthétique cosmétique parfumerie. Puis, ces diplômes en poche, il est conseillé de suivre un perfectionnement afin d’atteindre un niveau bac+2 en suivant un BTS esthétique cosmétique. Certains établissements privés proposent également des formations en maquillage mais pour les intégrer, il est utile de présenter un CAP si on est titulaire d’un bac+2. L’atelier du Griffon à Lyon propose une formation maquilleur-perruquier-plasticien reconnue par l’État, de niveau IV.

Des qualités solides pour accéder au métier de maquilleuse

Le sens artistique est sans aucun doute la qualité première dont une postulante doit détenir pour le poste de maquilleuse. L’imagination et la créativité également ainsi que la minutie sont des qualités indispensables, et toute candidate à ce métier doit être appliquée et rigoureuse. La patience est exigée de toute maquilleuse et un bon relationnel, de même qu’une excellente écoute. Des atouts tels que la discrétion sont aussi importants, ainsi qu’un sens de la pédagogie pour pouvoir conseiller les clientes au mieux.

Quels sont les rôles d’une maquilleuse ?

En vue d’un défilé de mode, d’une séance photos ou d’une émission télévisée, une maquilleuse est fortement sollicitée. Son rôle est de mettre en valeur les personnes qu’on lui confie et d’assurer les raccords maquillages. Si elle travaille au sein d’un institut de beauté ou un magasin de produits de beauté, une maquilleuse doit prendre en charge les clientes qui se présentent, que le maquillage est destiné à une journée au travail ou pour une cérémonie de mariage. Elle doit donner des conseils appropriés aux clientes et expliquer l’efficacité ou le mode d’emploi de telle ou telle cosmétique.